La mesure des atteintes à l’environnement est une condition nécessaire à la mise en place de politiques de préservation de celui-ci. Empreinte carbone, taxonomie européenne, « budget vert » français : il existe de nombreuses initiatives méthodologiques pour mesurer le « vert » et classifier les activités compatibles avec la préservation de l’environnement. Mais comme l’ont notamment montré les débats sur l’inclusion du gaz dans la taxonomie européenne, la mesure du « vert » pose de nombreuses questions : d’abord comment compter et valoriser les émissions de carbone ? Et les autres pollutions ? Ensuite comment déterminer si une activité est verte ? Comment identifier les dépenses publiques favorables à l’environnement ? Et mesurer les progrès des pays en termes de politiques climatiques ?

Dialogues Economiques (revue de vulgarisation scientifique en ligne, éditée par Aix-Marseille School of Economics) a sélectionné pour vous parmi ses billets

• Quelle valeur pour le coralligène ?
• De la protection de la nature à celle de la biodiversité : une histoire de débats
• Combien vaut un air plus pur ?  

 
The Other Economy a sélectionné pour vous :

• Doit-on donner un prix à la nature ?
• Compter les émissions de gaz à effet de serre
• La comptabilité ne tient pas compte des ressources naturelles et des pollutions
• La croissance du PIB s’accompagne de celle de l’exploitation et de la dégradation de la nature
• Adopter des indicateurs alternatifs au PIB
• Économie, ressources naturelles et pollutions

Trésor-éco a sélectionné pour vous  

• N°294 : Évaluations économiques des services rendus par la biodiversité