Manuela Borella
Vice President Plant Based Acceleretion, Danone
Didier Bruno
Membre du Directoire de la Caisse d’Epargne Rhône Alpes
Aurélie Piet
Economiste indépendante, membre du Think tank BSI Economics
Amélie Roux
Chef économiste chez Saint Gobain
Claire Waysand
Directrice générale par intérim, Engie
Jean-Marc Vittori
Les Echos
Il y a un demi-siècle, l’économiste Milton Friedman proclamait que «la responsabilité sociale des entreprises est d’accroître leurs profits». Mais en prospérant, le capitalisme d’actionnaires a débouché sur des crises financières, sociales, environnementales qui finiront par devenir insupportables. En France, la loi a récemment ouvert la possibilité aux entreprises d’inscrire dans leurs statuts une raison d’être, voire une mission qui peut être sociale ou environnementale. D’autres pays, y compris les Etats-Unis, vont dans la même direction. Les entreprises peuvent-elle être vraiment pilotées différemment ? Doivent-elles avoir une responsabilité illimitée, sur quoi et devant qui ? Leur efficacité n’est-elle pas menacée ?
Journées de l’Economie
Fondation pour l’Université de Lyon
35 rue de Marseille
69007 Lyon
Email : jeco@fpul-lyon.org
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