Patrick Artus
Conseiller économique de Natixis et Professeur, PSE
Etienne Blanc
Vice-président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, Délégué aux finances, à l'administration générale, aux économies budgétaires et aux politiques transfrontalière
Jean-Olivier Hairault
Professeur de sciences économiques à l'Université Paris 1, Directeur de PSE
Xavier Ragot
Président de l’OFCE, Directeur de recherches CNRS
Natacha Valla
Doyenne de l'École du management et de l'innovation de Sciences Po
Jean-Marc Vittori
Les Echos
Aux Etats-Unis, le débat sur la « Théorie Monétaire Moderne », (Modern Monetary Theory, MMT) fait rage. La proposition est de maintenir à tout moment une politique budgétaire suffisamment expansionniste pour qu’il y ait toujours plein emploi, et de financer les déficits publics induits par la création monétaire pour éviter la hausse des taux d’intérêt. Plus généralement, on voit la tentation (aux Etats-Unis, au Japon, en Chine, en France, en Italie) de profiter de l’environnement de taux d’intérêt bas pour mener des politiques budgétaires expansionnistes et oublier les contraintes budgétaires qui s’imposaient auparavant. Il faut donc réfléchir à la question de l’austérité budgétaire : faut-il complétement en sortir, pour faire quelles dépenses publiques ou quelles baisses d’impôts ? Quels sont les risques : le retour de l’inflation, l’instabilité financière avec la création monétaire excessive s’il y a monétisation des dettes publiques, un rôle excessif de l’Etat… ?
Journées de l’Economie
Fondation Innovation et Transitions
3, Place de la Bourse
69002 Lyon
Email : jeco@fpul-lyon.org
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